jeudi 27 novembre 2008

Armin-parm


Une présentation en est donnée par Pierre Pacini, directeur à Promo-Informatique dans le n° 45 de la défunte revue Informatique et Gestion.

Une suite de la méthode Cantor, avec des outils logiciels "support" comme on dit maintenant dont un générateur de programmes. J'ai suivi le cours d'Armin-Parm. Il avait lieu près de l'Arc de triomphe de l'Etoile (maintenant Place Charles De Gaulle), dans un bâtiment qui a servi aux discussions sur la fin de la guerre du Vietnam.http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_Paix_de_Paris

L'Etat le vend. Lire Le Moniteur, extrait :
"L'Etat vend le prestigieux Centre international de conférence à Paris
C'est incontestablement l'une des plus grosses ventes prévues dans le cadre des cessions immobilières du gouvernement. Cet immeuble situé avenue Kléber à Paris est qualifié d'"exceptionnel" par France domaines, le service chargé de la stratégie immobilière de l'Etat.

Construit sur l'emplacement de la résidence de la Reine d'Espagne Isabelle II de 1868 à 1904, alors appelé Palais de Castille, ce bâtiment fut un hôtel de luxe, Le Majestic de 1908 à 1936, avant d'accueillir l'Unesco de 1946 à 1958, puis une annexe du ministère des Affaires étrangères jusqu'à nos jours.
Pendant la deuxième guerre mondiale, il fut le siège du haut commandement militaire allemand à Paris. Le Quai d'Orsay en a fait un Centre international de Conférence qui vit notamment la signature du traité de paix mettant fin à la guerre entre le Vietnam et les Etats-unis, des pourparlers de paix pour le Cambodge, des discussions entre Arabes et Israéliens ou encore, plus récemment, une conférence pour la reconstruction du Liban."

J'ai retrouvé cela dans le poly Cantor, publié par l'Iut de Nantes.

J'y note "La méthode est utilisée par 30 entreprises dont 13 ont acquis les programmes...dont la banque Hervé, Metti, la Société Générale, la Compagnie Générale Transatlantique"

Quand j'aurai du temps, je scannerai le polycopié de Cantor pour l'éducation des masses laborieuses des informaticiens ! Mais la retraite ne laisse guère de temps.

Aucun commentaire: